Votre culture des arts martiaux.

moi je possède la maitrise ultime du savoir qui ne sert à rien et qui te fait passer pour un bizaroïde en publique...

exemple: pendant les 7 premiers jours du developement foetale nous sommes tous des femelles jusqu'a ce que les chromosomes nous transformant en mâle se reveil, comme les tétons (typiquement féminin) se devellope avant le reveil des chromosomes, les mecs sont dotés de tétons qui ne servent qu'a faire joli ou a etre titillés lors de préliminaires amoureux
voila pourquoi les mecs on des tétons: nous avons été des filles...pendant 7 jours

imaginons que nous nous transportions instantanement à quelques mètres du soleil...la chaleur est si intense que nous ne brulerons pas, nous ne passons même pas par un état gazeux...les liens des molécules cèderaient et nous nous désintegrerions pouf!

etc...pour ce qui est des A.M, je connais pas grand chose d'historiques...mais pour ce qui est de ce qui ne sert à rien...j'en connais un rayon!

nota bene: il est interressant de constater que certains pratiquants avancé qui se disent d'une école, occultent une partie de leur apprentissage auprès de tel maitres ou de telle écoles. sans doutes pour entretenir la cohésion de leur parcour ou pour se targuer d'être les détenteurs d'un style qui à prouvé son mérite.

dans ces cas précis il est difficile d'y voir clair

Citation :

notre ami Hara, lecteur Pléien devant l'éternel nous rappellerai par exemple que pour n'avoir pas recherché et tenu compte de ce qui se faisait en asie dans un passé lointain, la médecine occidentale a perdu près de 4 ou 5 siècles dans le domaine de la réanimation(massage cardiaque, respiration artificielle...)

par exemple lorsque lavorato dit qu'il a tout appris du karaté par kasé lors d'une interview apres la mort de celui-ci. Mr Plée m'a avoué dans une ancienne correspondance avoir été décu par cette affirmation car lavorato à commencé avec Plée, et de citer ushueba senseï, les arts martiaux commence dans le respect et la gratitude et se finissent dans l'ingratitude (de mémoire)

hara a écrit:

lavorato dit qu'il a tout appris du karaté par kasé lors d'une interview apres la mort de celui-ci. Mr Plée m'a avoué dans une ancienne correspondance avoir été décu par cette affirmation car lavorato à commencé avec Plée, et de citer ushueba senseï, les arts martiaux commence dans le respect et la gratitude et se finissent dans l'ingratitude (de mémoire)

euh j'ai commencé le taichi avec une prof... mais j'ai tout appris du taichi auprès de ma deuxième prof

Dans un autre post une question qui me conforte dans mon opinion:

pourquoi, ou plutôt comment cela se fait t'il que Funakoshi dans son répertoire de kata qu'il a appris lorsqu'il était encore à Okinawa n'a pas appris (ou voulu transmettre) sanchin?

primo : la seule personne ayant la réponse est morte depuis un bail il ne peut donc n'y avoir que des suppositions (et ça commence déjà sur le forum ) jusqu'au moment ou un pseudo érudit va lancer LA vérité qui lu et relu sur internet (via le site) deviendra UNE vérité absolue.

secundo : en quoi la réponse modifiera la pratique du questionnant ? Perso je suis interessé par ce kata et j'avais l'intention (avant d'être lâchement abandonné ) d'inviter un expert du konan pour nous l'apprendre. Là c'est du concret

Entendons nous bien je trouve légitime de se poser des questions ce qui me gratouille (ou me chatouille) c'est d'affirmer que l'histoire est nécessaire à la pratique

shototai a écrit:

jusqu'au moment ou un pseudo érudit va lancer LA vérité qui lu et relu sur internet (via le site) deviendra UNE vérité absolue.

Je crois qu'on ne pourra s'empêcher de penser à quelqu'un ! héhé

HS, flood troll toussatoussa total

shototai a écrit:

Perso je suis interessé par ce kata et j'avais l'intention (avant d'être lâchement abandonné ) d'inviter un expert du konan pour nous l'apprendre. Là c'est du concret

C'est d'autant plus dommage que tu ne viennes pas au stage, passekon va en bouffer au stage, du sanchin.

Fin du HS


Ceci dit, je suis d'accord que connaitre l'histoire n'apporte rien à la pratique. Mais on peut voir la chose sous un autre angle. Je pense a cet expert japonais compétiteur au bras "cassé" qui n'hésite pas à intégrer des kata naha-te en affirmant que ceux-ci appartiennent au courant auquel il se rattache (shuri-te) depuis la nuit des temps.
Dans ce genre de cas, effectivement, connaitre l'histoire permet de rire un bon coup. Et vu la notoriété de cet expert, c'est déjà devenu (pour ses fan) et ça a va devenir (pour les z'autres, les z'incultes ) une vérité absolue. un peu comme pour le naihanchi qu'aurait été naha-te

Alors, connaitre l'histoire n'apporte rien à la pratique, certes, mais la connaitre permet de ne pas dire n'importe quoi.

Bon, on se fait un bisou et on reprend la pratique.

je suis d'accord avec Hanchindi, et je pense qu'un pratiquant passionné devrait avoir des bases sur l'histoire de sa discipline (c'est pour ça que l'on retrouve invariablement un condensé succint d'histoire dans les bouquins techniques digne de ce nom)

moi je ne jeterai pas la pierre sur les personnes qui on prit la peine de se renseigner en profondeur la dessus, au contraire je leur tire mon chapeau, et suis convaincu qu'en discutant avec eux on en apprend pas mal sur le sujet.
la connaissance agit psychologiquement sur la pratique et lui donne un relief non négligeable
pour peut que l'on ai de l'imagination, on peut faire évoluer sa pratique sur des bases solides

sinon le dojo perd de son âme, et agacé on entend bavasser dans tout les coins des gens qui ont confondu Art Martial et deuxieme mi-temps...
moi je ne suis pas un sportif, je fais du karaté et j'éprouve un plaisir non dissimulé à lire ou écouter des personnes passionnés et érudites.

@hara : +1 et puis aprés tout, un célèbre maître de Te ne conseillait t'il pas de se renseigner et d'apprendre le plus possible sur l'historique et l'évolution de sa pratique, ceci afin d'entretenir la passion que le pratiquant éprouve pour celle-ci?

Hanchindi a écrit:

Ceci dit, je suis d'accord que connaitre l'histoire n'apporte rien à la pratique.
.../...
Alors, connaitre l'histoire n'apporte rien à la pratique

marrant quand on sait à quel point tu t'es investi dans les recherches historiques... et que tu t'apprêtes à partir t'installer au plus près des sources historiques de ton karaté.

Mais c'est peut être justement là l'explication.

Quand on a accès à des profs historiquement, culturellement au plus près des fondateurs, peut-être qu'il n'est pas nécessaire d'augmenter ses connaissances...

Par ailleurs, si on est de ceux qui ont une bonne compréhension corporelle, ok, pas besoin de savoirs et de connaissances livresques et autres, suffit de pratiquer.
Maintenant je crois qu'on n'est pas si nombreux dans ce cas. Et que de plus, notre système éducatif et d'apprentissage en France nous forge tous des façons d'apprendre qui inclue la lecture et la compréhension intellectuelle.

@ François : je suis un fervent passionné de l'histoire des arts de combat, mais je fais la part des choses. Je ne met pas ma passion (personnelle et intellectuelle) au centre de la pratique (générale et physique) et vice-versa.
Je suis intimement persuadé qu'on peut être un bon pratiquant sans rien ou presque savoir de l'histoire, tout autant qu'on peut être un savant érudit en histoire et n'être qu'un pratiquant moyen ou faible.
Pour moi, l'un n'est pas nécessaire et obligatoire à l'autre.
Tout autant qu'on être moyen dans les deux domaines.

Hanchindi a écrit:

Je suis intimement persuadé qu'on peut être un bon pratiquant sans rien ou presque savoir de l'histoire,

J'en connais

Citation :

tout autant qu'on peut être un savant érudit en histoire et n'être qu'un pratiquant moyen ou faible.

J'en connais